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Et si on changeait notre manière de consommer les cosmétiques ?

La période que l’on vient de vivre nous a parfois invité à réfléchir à des sujets de fonds. La manière de consommer des cosmétiques et l’impact sur l’environnement de ceux-ci font partie des actions sur lesquelles on peut facilement agir. Si le zéro déchet peut sembler difficile à atteindre pour la consommation alimentaire, du côté des produits de beauté, il existe des alternatives intéressantes pour bannir progressivement le plastique et autres suremballages inutiles en passant notamment à la cosmétique solide.

Large gamme : du savon à tous les produits utiles au quotidien

On a pu le constater depuis quelques années, on assiste à un retour en force du bon vieux savon, mais dans des versions actualisées. Ce que l’on connaît parfois un peu moins, si l’on n’a pas la fibre écolo, c’est qu’il existe désormais quasiment tous les produits du quotidien au format solide : shampoing, après-shampoing, dentifrice, déodorant, démaquillant, … Vous pouvez même convertir « monsieur » à cette tendance. Des cosmétiques que j’ai notamment découvert sur des boutiques de savonneries artisanales comme celle des Savons de Joya et bien d’autres.
Souvent depuis notre enfance, on a été soumis au marketing à outrance, la publicité nous a presque inculqués qu’un dentifrice ne peut que sortir d’un emballage plastique que l’on presse pour en faire sortir une pate blanche parfois colorée par des bandes de couleurs. Quand j’y pense maintenant, cela pourrait presque me faire frémir.
On ne changera pas toutes nos habitudes du jour au lendemain, mais on peut progressivement réapprendre à consommer autrement, et surtout en faisant attention à deux choses : la pollution de nos déchets et la composition des produits.

Le zéro déchet

Dans la salle de bain, pour commencer à agir en mode « zéro déchet », on peut d’abord échanger ses cotons de démaquillage par des lingettes réutilisables. C’est une première étape peu contraignante.
Ensuite, même si les emballages des marques de luxe sont beaux, on sait qu’ils servent essentiellement à justifier le prix élevé de certains cosmétiques. Si l’on n’est pas prêt à sacrifier tous les produits emballés, on peut déjà regarder si ces emballages sont recyclables ou s’ils sont issus de recyclage. Cela sera un premier geste dans le bon sens.
Enfin quand on est prêt, on opte de plus en plus pour des cosmétiques solides qui ne nécessitent pas d’emballages plastiques superflus et on choisit des contenants « rechargeables ».

Retour aux bases de la cosmétique

Quand on veut consommer autrement, la première chose à faire c’est de prendre le temps d’observer les listes INCI des cosmétiques que l’on a à la maison. Plus elle est longue et avec des mots barbares, plus il y a de chance que le marketing ait pris le pas sur la vraie vocation du produit : nettoyer, hydrater, ou peu importe.
J’ai beaucoup appris en regardant les vidéos Youtube réalisées de Julien Kaibeck, comme par exemple pour comprendre ce qui se cache derrière les produits cosmétiques vegans  ou derrière les différents labels que l’on croise, ou bien encore sur les huiles essentielles.
En choisissant des produits de beauté avec des compositions simples et des ingrédients le moins transformés chimiquement possibles, votre peau devrait vous dire merci.
Voilà quelques pistes de réflexions amenées par cette drôle d’année 2020, et si vous en avez profité pour prendre des bonnes résolutions plus écologiques, pourquoi pas envisager des vacances en France et encore mieux dans ma belle région de l’Anjou que je vous propose de découvrir sur le blog.

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